Nos projets de plantation d'arbres ont été affectés par la pandémie, certains plus que d'autres. Lorsque le COVID-19 s'est propagé à travers le monde il y a quelques mois, nous avons demandé à nos partenaires de mettre en place des mesures de sécurité et de ralentir leurs efforts de plantation si cela était nécessaire. Nous avons créé de nouveaux contrats et accords pour les aider à effectuer ces changements. Cela leur a permis de se maintenir financièrement pendant la crise du coronavirus, sans avoir à mettre leur santé en danger. Pour nous, il a toujours été évident que le bien-être de nos planteurs était la priorité.
Parallèlement, le COVID-19 a eu un impact sur les recettes publicitaires d'Ecosia, qui constituent notre principale source de revenus. Nous avons donc dû éviter les nouveaux partenariats. Cependant, grâce à nos réserves, nous avons pu payer tous nos partenaires actuels comme prévu. Notre fonds d'arbres correspond toujours (ou est parfois légèrement supérieur) aux sommes que nous devons régler à nos partenaires de reforestation.
En raison de ces deux facteurs (moins de revenus pour les nouveaux partenariats et un délai dans les plantations à cause de la distanciation sociale), nous avons revu notre compteur d'arbres : d'un arbre par 0,8 seconde, nous sommes passés à un arbre par 1,3 seconde. Ainsi, nous nous assurons que le compteur ne dépasse jamais le nombre d'arbres réellement plantés.
La bonne nouvelle, c'est qu'il s'agit d'une mesure temporaire. Nos revenus sont en train de remonter, et nous avons pu signer un certain nombre de nouveaux contrats de reforestation. Ces contrats correspondent à 60 millions d'arbres supplémentaires, parmi lesquels nous estimons que 42 millions arriveront à maturité (le compteur n'inclut que les arbres qui survivent pendant au moins trois ans).
L'année 2020 a été difficile pour la plantation d'arbres, mais la situation est déjà en train de s'améliorer. L'année à venir s'annonce quant à elle prometteuse... et notre compteur d'arbres reflètera bientôt cette situation.
